Mon premier Rp

Mendigo

Mendigo fut crée par Jarred Ysson en l'an 632, alors qu'il avait promis à sa femme de faire la vaisselle avant son retour. Fabriqué en bois envoûté (c'était tout ce qu'il avait sous la main...), l'automate était assez grand et large pour contenir tous les engrenages permettant de le faire fonctionner.

Comme Jarred était assez bon bricoleur, il mit peu de temps à fabriquer Mendigo. Et lorsque sa femme rentra, le robot était à l’œuvre depuis 5 bonnes minutes. Mais Mendigo avait simplement deplacé la vaisselle sale sans rien nettoyer. Jarred avait utilisé un tuyau qui servait à amener l'eau de la pompe vers le robinet pour fabriquer le réservoir à essence de Mendigo. Du coup, l'eau s'était écoulé dans la cave, et elle était complètement inondée, et la vaisselle était sale.

Madame Ysson s'énerva et hurla des choses peu courtoises en lançant des assiettes sur son mari qui s'enfuit sans chercher à discuter. Mendigo ne tarda pas à le rejoindre en roulant dans une brouette envoyée par sa femme en bas de la colline qui élevait leur maison au-dessus d'Amakna. Mendigo n'était pas en état de fonctionner à nouveau. Aussi Jarred décida de le réparer en attendant que sa femme fut calmée. Mais il manquait trop de pièces pour le réparer et il voulut rentrer chez lui. Mais sa femme en le voyant l'aspergea avec l'eau qu'elle vidait de la cave, pour lui faire comprendre qu'il n'était pas le bienvenu pour le moment. Il repartit donc en bas de la colline.

En descendant, il croisa un vieux magicien un peu ivre, disciple de Pandawa. Ce dernier tenta de lui dire quelque chose, mais reçu alors un seau d'eau depuis le haut de la colline. Il s'énerva et lança un violent schnaps sur la maison de Jarred. Ce dernier ouvrit la bouche pour parler, mais aucun son n'en sortit. Il courut vers sa maison et alla secourir sa femme, mais elle n'était déjà plus de ce monde.

Le vieux Pandawa vînt le voir pour s'excuser, mais Jarred était très énervé et lui envoya un direct. Le Pandawa se releva tant bien que mal et voulut s'expliquer, mais un deuxième direct le recoucha par terre. Il s'énerva alors et envoya un poing enflammé dans Jarred, qui s'envola jusque devant l'automate. Le Pandawa courut vers lui pour l'aider, car il ne voulait pas sa mort, mais c'était trop tard...

Paniqué, il envoya un tofu privé à son ami Abrazellon pour l'aider à ressusciter le malheureux. Celui-ci arriva quelques minutes plus tard sur le dos de sa Dragodinde amande. Il sauta de sa monture et prépara sa laisse spirituelle. Peu de temps après, il pointa sa main vers Jarred et lança son sort, mais il visa un peu trop vers Mendigo et l'âme de Jarred se réincarna dans le corps en bois de son automate.

L'automate essaya de manifester son mécontentement, mais ne pouvant pas parler, il claqua ses mâchoires de bois et essaya d'écraser le vieux Pandawa. Celui-ci esquiva et invoque un Pandawasta pour l'immobiliser. Abrazellon se dépêcha d'envoyer un tofu privé à un ami disciple du Dieu Cra pour l'aider. Celui-ci ne tarda pas à arriver. Il était puissant et concentra toute sa magie pour la donner à l'âme de Jarred et lui permettre de s’échapper de l'automate pour rejoindre son corps. Mais sa magie resta enfermée dans Mendigo à cause du bois envoûté qui avait hélas pour propriété que de retenir la magie en lui. Jarred disposait maintenant d'une puissance phénoménale et du corps d'un automate massif. Mais il était condamner à rester dans son automate éternellement.

Alors la colère de Jarred éclata, et il tua d'un coup de poing le pandawasta. Il se rua sur Abrazellon mais ce dernier l'esquiva juste à temps, et fuit sur sa monture aussi vite qu'il put, poursuivi par Mendigo. Le vieux Pandawa profita de cette diversion pour fuit à son tour.

Mendigo fut bientôt recherché par tous les mercenaires et les milices d'Astrub, Bonta et Brâkmar. Il semait la mort sur son passage et détruisait toutes les maisons et autres bâtiments qu'il croisait. Il se confectionna une armure et des armes avec tout ce qu'il trouvait, et il devint très impressionnant. Même les bandits les plus dangereux évitaient de croiser son chemin. Sauf Qil bil qui en avait marre que personne ne s'occupe de lui. Qil bil chercha donc Mendigo, c'était assez simple puisqu'il suffisait de suivre les maisons en ruine. Il le trouva en train de dévaster des maisons dans Amakna et le héla :

« Hé, automate en mousse ! Viens affronter Qil Bil si t'es un h... »

Il ne termina jamais sa phrase, car Mendigo lui coupa le bras avec sa hache. Par la suite, il dut se fabriquer une prothèse en métal pour pouvoir continuer à démembrer les innocents.

Amayiro et Oto Mustam décidèrent alors de stopper la guerre pour s'allier contre Mendigo. Ils envoyèrent alors leurs guerriers les plus puissants pour le vaincre. Ce fut un massacre. Chaque guerrier avait pour ordre de tuer les guerriers de l'alignement ennemi, et donc ils s’entre-tuèrent devant l'automate qui n'eut qu'à les regarder et à attendre.

C'en était trop, Abrazellon et le vieux Pandawa décidèrent de réparer leur fautes et firent appel aux mercenaires du clan Sirak pour venir à bout de Mendigo. Le prix fut assez élevé, mais en utilisant leur économies, ils purent payer les guerriers mercenaires.

Les mercenaires partirent alors en quête du pantin, armés d'une gemme tellement puissante qu'elle était capable d'enfermer l'âme d'un humain dedans. Deux guerriers Iop et deux autres guerriers Sacrieurs se chargèrent de frapper Mendigo pendant qu'un Sram installait un ensemble de pièges très puissants. Deux Eniripsas soignaient les blessés, mais ils s'affaiblissaient trop vite. Un Sadida essayait de ralentir l'automate en l’emmêlant avec des ronces géantes. Ce qui permit alors aux guerriers de pousser Mendigo dans les pièges. Il fut assommé et trois Osamodas puissants se chargèrent d'utiliser leur laisse spirituelle pour enfermer l'âme de Jarred dans la gemme. Ils y parvinrent avant que Mendigo se réveille.

La gemme maudite fut enfermée dans un coffre, enfermé lui-même dans une cellule blindée enfermée elle-même dans la salle aux trésors des mercenaires, protégée elle-même par de puissants sortilèges. Jarred fut condamnée à vivre enfermé dans cette gemme sans jamais pouvoir trouver le repos éternel, pendant l'éternité, ou jusqu'à ce qu'un inconscient extrêmement puissant parviennent à le libérer.

Fin...


[J'ai écrit ce RP il y a pas mal de temps, mais je n'avais jamais fait lire à qui que ce soit, je vous prie de donner votre avis et de me dire les points négatifs et positifs que vous lui trouverez. =) ]

EDIT [HRP]: J'avais vaguement essayé de représenter Mendigo (nom pris dans un livre que j'ai lu l'année dernière), (Photo prise avec mon portable et assez sombre, excusez donc la qualité (En plus c'est du crayon papier...). Voilà ce que ça avait donné.

J'aime beaucoup ! Très original, félicitations !

[HRP]L'idée est très originale.
Néanmoins, pour t'aider à progresser (pas pour te faire chier hein ^^), je dirais que tu écris avec un peu trop de lourdeur. Exemple : quand Jarred se fait jeter dehors, il essaie de revenir mais se fait rembarrer. Tu écris comme si le lecteur savait, tout comme toi, ce qui allait se passer. (T'inquiète, j'ai le même problème ^^)
Je ne sais pas si tu as vu les différentes façons d'introduire une citation dans un texte (en français) mais c'est dans le même style.

Citation :

Madame Ysson s'énerva et hurla des choses peu courtoises en lançant des assiettes sur son mari qui s'enfuit sans chercher à discuter. Mendigo ne tarda pas à le rejoindre en roulant dans une brouette envoyée par sa femme en bas de la colline qui élevait leur maison au-dessus d'Amakna. Mendigo n'était pas en état de fonctionner à nouveau. Aussi Jarred décida de le réparer en attendant que sa femme fut calmée. Aïe ! Il lui fallait des pièces qui se trouvait dans un "état en guerre". Il s'approcha donc doucement. La fenêtre ? Personne. La porte ? Personne...mais elle était entrouverte. Il jeta un coup d'oeil en arrière, pour regarder son pauvre robot. Malheureusement, "LA" personne à éviter avait apparu. Sa femme l'aspergea de l'eau qu'elle vidait de la cave ! Il n'était décidément pas le bienvenue pour le moment. Dépité, il redescendit la colline.

(Je me suis permis de modifier ton texte pour te montrer un exemple.)

J'ai trouvé ce qui rend ton texte lourd : les "mais". Je sais que c'est le mot parfait (un peu trop d'ailleurs ) mais il faut penser aux autres conjonctions de coordination ! Les pauvres, elles n'attendent que ça qu'un gentil écrivain comme toi les utilise.

Donc un gros résumé de mon conseil : varie les mots que tu utilise !

Mais, quoique j'en dise : j'ai bien aimé. [/HRP]

[HS]Je sais, je fais un peu prof dans ce post mais j'ai le même problème donc, je ne sais pas moi... Peut-être qu'aider les autres m'aidera moi-même.... (et on passe à la philosophie ! x) )[/HS]